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La CCFI reçoit un prix « Pap’Awards » pour ses travaux sur l’attractivité de la filière

Notre initiative « Retrouver l’attractivité de la filière des Industries graphiques » a été récompensée par un Pap’Awards 2024 ! Le 4 avril dernier, au cours d’une soirée animée par Jean Poncet, rédacteur en chef de Pap’Argus, plus de...

Les dernières actualités

Une réussite et des ambitions

Avec 96 000 livres vendus en trois jours et 103 000 visiteurs, cette troisième édition du Festival de Paris a confirmé la renaissance du rendez-vous parisien. Un nouveau défi se dresse pour l’organisation avec...

Emmanuel Macron a fait salon

Une visite inattendue du couple présidentiel lors du Festival du livre de Paris a offert un sacré coup de projecteur à l’évènement et permis aux éditeurs de faire valoir au chef de l’État leurs préoccupations du moment...

Prochaines conférences

Fête de la saint Jean-Porte-Latine


Cercle des Armées - 8 place saint-Augustin, Paris 8e

Conférence « L’IA au service des Industries Graphiques »

Rémy Touguay
École Estienne

Assemblée générale 2024

Pascal Lenoir
École Militaire

Qui sommes nous ?

La CCFI est une association fondée en 1952, qui regroupe tous les professionnels de la filière graphique, dans un esprit confraternel. La CCFI a pour mission de maîtriser les métiers et process d’aujourd’hui, et de préparer ceux de demain.

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Ailleurs dans la presse

Max Engammare, l’érudition comme boussole

PORTRAIT - Après trente ans passés à la direction des Éditions Droz, maison genevoise créée à Paris il y a un siècle et spécialisée notamment dans le secteur des études médiévales et humanistes, ce docteur en théologie tire sa révérence . Un éditeur d’une autre époque.

‘Can you steal back something that’s already stolen?’: how radical art duo Looty repatriated the Rosetta Stone

Tired of colonial artefacts being hoarded, Chidi Nwaubani and Ahmed Abokor use tech to redistribute them from museums in audacious digital heists

In March last year, two men in tracksuits, wearing hockey masks and carrying matching laundry bags, headed for the British Museum. Just outside, patrolling police asked the two strange-looking men where they were going. “We’re going to the British Museum to loot back stolen goods,” one of them said. “Well, we’ll see you in there then!” the policewoman answered.

But no arrests were made, as nothing incriminating happened. What did take place was a “digital heist” of one of the most famous objects in the British Museum, an artefact that is, according to Egyptologist Monica Hanna, “a symbol of western cultural power” and “of British imperialism”: the Rosetta Stone.

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