De la SF à l’horreur en passant par la cosy fantasy, la littérature dite de l’imaginaire joue avec le réel pour mieux y mettre le doigt. Un segment éditorial foisonnant et à la fabrication soignée, porté par de la romance, des adaptations visuelles et des auteurs d’horizons culturels des plus variés.
Quand le monde va mal, la littérature de l’imaginaire se porte bien. « On doit réenchanter le monde », défend Olivier Girard, créateur des éditions Le Bélial’, mentionnant Ray Nayler (Défense d’extinction, paru en mai). Il publie en octobre Cuirassés, d’Adrian Tchaikovsky, récit horriblement drôle sur une guerre entre pays anticapitalistes et puissances consuméristes. Avec l’Intégrale du Bâtard de Kosigan de Fabien Cerutti, Mnémos verse volontiers dans l’humour. C’est sa meilleure vente du premier semestre…






































