L’industrie accuse le coup de la crise énergétique et inflationniste. Dans son dernier point de conjoncture,la Banque de France montre les premières craquelures, apparues en septembre. Malgré cela, l’économie française aurait plutôt bien résisté au troisième trimestre selon l’institution, avec une croissance de 0,25 %. Précisons que toutes les entreprises ne sont toutefois pas égales face au choc énergétique. Une fois qu’on a dit ça, quelles sont alors celles qui sont les plus impactées ? Selon l’Insee, dans l’industrie (hors producteurs d’énergie), c’est la chimie qui apparaît la plus dépendante de consommations intermédiaires énergétiques. Suivent la métallurgie (9 %) et l’industrie du papier et du carton (8 %).
