Le géant mondial de la publicité relève à nouveau ses prévisions de croissance pour l’année, porté par un environnement concurrentiel favorable et son avance technologique.
«Nous ne voyons aucune réduction des dépenses marketing chez nos clients», assure Arthur Sadoun, PDG de Publicis. Ce trimestre encore, le géant français de la publicité, devenu leader mondial du secteur l’an passé, affiche une santé insolente. Malgré une conjoncture macroéconomique délicate, il enregistre 3,5 milliards d’euros de revenus nets, soit 5,7% de croissance organique. «Nous avons 700 points de base d’avance sur nos pairs. Le secteur est négatif au troisième trimestre, là où nous culminons à presque 6% de croissance», déclare le dirigeant. Fort de cette dynamique, le groupe annonce, pour la deuxième fois consécutive, réviser à la hausse son objectif de croissance organique pour 2025. Il vise désormais 5,5%, soit 0,5 point de plus que le trimestre dernier. Et s’apprête donc, pour la septième fois consécutive, à «surperformer» par rapport à l’année précédente…






































